The midnight meat train

Ryuhei Kitamura, 2007 (Etats-Unis)

Après la claque reçue par Morse (Tomas Alfredson, 2008), je ne souhaitais pas en rester là dans le domaine du fantastique. Ayant vu que The midnight meat train avait aussi reçu son lot de récompenses au Festival du film fantastique de Gérardmer, il était impossible de passer à côté. Pour tout vous dire, je ne suis pas un fan du genre, mais ce film m’a vraiment scotché. Continuer la lecture The midnight meat train

Morse (Låt den rätte komma in)

Tomas Alfredson, 2008 (Suède)

Ils sont trois à avoir été mordus par ce vampire de Suède.

Morse s’est vu tellement remettre de récompenses qu’il n’y a plus de place pour toutes les écrire sur l’affiche. Récemment le prix de la critique internationale au festival du film fantastique de Gérardmer, qui a permis de le faire connaître en France. Dommage que cette œuvre tirée du best-seller de John Ajvide Lindqvist (Låt den rätte komma in qui signifie : « Le droit d’entrer ») ne sorte que dans quelques salles en France, car il mérite un large succès.

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Un jour sur Terre

Alastair Fothergill et Mark Linfield, 2007 (Angleterre, Allemagne)

Le thème du réchauffement climatique n’est pas nouveau. On essaye par divers moyens de nous faire prendre conscience de ce qui est en train d’arriver à la planète bleue. Une vérité qui dérange (David Guggenheim, 2006) est sans aucun doute le premier documentaire qui rentre dans le vif du sujet. Et pour cause, jusqu’à peu ce n’était pas un phénomène pris au sérieux. Mais lorsque un homme respecté tel que Al Gore (prix Nobel de la paix 2007) s’y investit, le grand public commence petit à petit à prendre conscience de l’ampleur du problème. C’est une très bonne méthode et le documentaire Un jour sur Terre fonctionne tout aussi bien puisque sa manière ne laisse pas du tout indifférent. Continuer la lecture Un jour sur Terre

2001 : l’odyssée de l’espace

Stanley Kubrick, 1968 (États-Unis, Royaume-Uni)

Difficile de parler de science-fiction sans parler de 2001 : l’odyssée de l’espace. Difficile même de parler de cinéma tout court, sans évoquer ce chef-d’œuvre. D’aucuns diront que j’ai dès le début signalé toute mon adoration pour le film et qu’il ne faudra donc pas s’attendre à ce que cette note soit très objective. Je ne chercherai d’ailleurs pas à l’être tant la vision de ce film sur grand écran dans sa version « remasterisée » (comprendre nettoyage de pellicule et du son et non pas nouvelles scènes ajoutées façon Star Wars) est une claque monumentale pour l’athée et simple mortel que je suis. Continuer la lecture 2001 : l’odyssée de l’espace