"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Patricio Guzmán, 2010 (Chili, France, Espagne, Allemagne, États-Unis)
Partout la poussière. Celle qui en tous lieux s’immisce, non pas pour gripper l’engrenage des gigantesques télescopes chiliens mais, tombant lentement dans les rais du soleil, retient le temps et traverse les lieux quels qu’ils soient, cuisine et salon Continuer la lecture Nostalgie de la lumière
Pablo Trapero, 2015 (Argentine)
Le fait divers des plus sordides implique des figures importantes de l’époque. Comme dans un Scorsese, la réalisation mêle efficacement polar, thriller et film politique. La reconstitution de ce début des années 1980, Continuer la lecture El clan
Patricio Guzmán, 2015 (Chili, France, Espagne)
Le film de Patricio Guzmán est d’une beauté absolue. Continuer la lecture Le bouton de nacre
Pablo Fendrik, 2014 (Argentine, Brésil, France)
Manichéiste et vengeur. Il est cependant des sujets qui s’accommodent très bien de cette simplicité, et même d’une certaine radicalité. D’autant que, pour mettre en scène son histoire, Pablo Fendrik emprunte au western, au survival, au film de revanche, bref aux films de genre, pour traiter d’une question très contemporaine.
Maria Ramos, 2013 (Brésil, Pays-Bas)
PRES DES YEUX, LOIN DU CŒUR
Une nouvelle unité de police est mise en place afin de pacifier une favela de Rio de Janeiro. À travers des portraits d’habitants et de policiers, Maria Ramos nous présente le quotidien de Hill of pleasures. Un documentaire rempli de bonnes intentions et de magnifiques prises de vues mais dont la réalisation ne dessert pas l’intention. Continuer la lecture Hill of pleasures