Alfred Hitchcock, 1952 (États-Unis)
« Les prêtres l’intriguaient, certains lui avouaient qu’ils prenaient plaisir à ses films les plus sexy et les plus violents, ce qui l’amusait » [1] Continuer la lecture La loi du silence (I Confess)
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Alfred Hitchcock, 1952 (États-Unis)
« Les prêtres l’intriguaient, certains lui avouaient qu’ils prenaient plaisir à ses films les plus sexy et les plus violents, ce qui l’amusait » [1] Continuer la lecture La loi du silence (I Confess)
Oliver Laxe, 2025 (Espagne, Maroc)
Le film appelle le symbole. Dès son titre, Sirat, qui désigne en arabe un chemin et dans le Coran la passerelle lancée entre le Paradis et l’Enfer le jour du jugement dernier : le symbole est là, celui d’un passage, d’un lieu (ou d’un temps) de transition. Continuer la lecture Sirat
Alan J. Pakula, 1978 (États-Unis)
Les gens qui s’ennuient devant ce film, critique que l’on peut lire çà et là, sont sans cœur. Ce n’est pas l’action qui tient Le souffle de la tempête, même si le récit est jalonné de quelques rebondissements, ce sont ses personnages : mauvais (et ils excellent dans ce registre), ou à l’inverse en tout point attachants, et cela, probablement surtout en raison de leur complexité. Continuer la lecture Le souffle de la tempête (Comes a Horseman)
Jia Zhangke, 2014 (Chine)
A touch of sin (2013) fragmentait les territoires, interrompait l’élan des personnages, rompait leurs destins. Il rendait compte de la violence du séisme qui, depuis que la Chine a entamé la fusion du communisme et du capitaliste Continuer la lecture Au-delà des montagnes (Shan he gu ren)
Une spirale de rêves et recommencer