Daniel Espinosa, 2022 (États-Unis)
Le vampire n’est plus qu’un cadavre sans attrait expulsé d’une horreur protéiforme à trois têtes, Disney-Marvel-Sony, plus intéressante en soi que ses propres rejetons industriels. Continuer la lecture Morbius
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Daniel Espinosa, 2022 (États-Unis)
Le vampire n’est plus qu’un cadavre sans attrait expulsé d’une horreur protéiforme à trois têtes, Disney-Marvel-Sony, plus intéressante en soi que ses propres rejetons industriels. Continuer la lecture Morbius
Taika Waititi et Jemaine Clement, 2014 (Nouvelle-Zélande)
Comédie noire appliquant le principe de la télé-réalité au milieu des vampires, What We Do in the Shadows de Taika Waititi et Jemaine Clement a d’abord été un court-métrage éponyme sorti en 2005 (sous-titré en v.o. Interviews with Some Vampires). Les deux réalisateurs Néo-Zélandais avaient alors écrit, réalisé et interprété deux des principaux rôles, ce qu’ils font aussi pour le long métrage de ce faux documentaire. Continuer la lecture Vampires en toute intimité (What We Do in the Shadows)
Ariane Louis-Seize, 2024 (Canada)
Après une dizaine d’années d’écriture de scénarios et de réalisation de courts métrages, Ariane Louis-Seize signe avec Vampire humaniste cherche suicidaire consentant son premier long métrage et ce film… présente le vampire de cinéma le plus intéressant vu depuis longtemps. Continuer la lecture Vampire humaniste cherche suicidaire consentant
Tod Browning, 1936 (États-Unis)
Les Poupées du diable est l’adaptation d’un roman, Burn Witch Burn d’Abraham Merrit (paru en 1932) et, outre Tod Browning, Guy Endore et Erich von Stroheim sont crédités au scénario. Peut-être l’histoire d’origine a-t-elle souffert des modifications successives et des arrangements supposés des différents scénaristes qui se sont penchés dessus car, au final, Les Poupées du diable en est plus fantaisiste que fantastique. Continuer la lecture Les Poupées du diable (The Devil Doll)
Weston Razooli, 2024 (États-Unis)
Le préambule est lové dans le bois d’un parc naturel du Wyoming comme dans une forêt de légende médiévale. L’enfant fée qui ouvre l’histoire nous ramène un instant à la magie d’Excalibur de Boorman (1981). En tout cas jusqu’à ce que le tonnerre des motos chevauchées par trois marmots ne viennent fracasser l’image de départ et mettre la pagaille dans nos représentations (difficile de résister à cette scène d’intro). Continuer la lecture Riddle of fire