"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Ivan Passer, 1971 (États-Unis)
Film à réserver uniquement pour les mordus de De Niro : en effet, ce dernier tient un second rôle (celui d’un flic, Danny) et n’apparaît en tout et pour tout qu’une petite dizaine de minutes dans le film. Continuer la lecture Né pour vaincre (Born to win)
Roger Corman, 1970 (États-Unis)
Des premiers longs métrages de De Niro, Bloody mama est, avec The wedding party (De Palma, 1963), celui qui ressemble le plus à un « vrai » film. Continuer la lecture Bloody mama
Robert Aldrich, 1955 (États-Unis)
« Il n’y a plus rien qu’un désert de gravats de poussière
Qu’un silence à hurler
à la place où il y avait
une ville qui battait »
Claude Nougaro, Il y avait une ville, 1958
« I REMEMBER YOU FROM SOMEWHERE »
La scène d’ouverture est impressionnante. C’est la nuit, une femme avance face caméra, pieds nus sur l’asphalte, Continuer la lecture En quatrième vitesse (Kiss me deadly)
Shane Black, 2018 (États-Unis)
On ne peut pas s’attaquer à The Predator. Ou disons qu’il y a des films ratés avec lesquels on ne peut pas être complètement méchant. Continuer la lecture The Predator
Steven Spielberg, 2015 (États-Unis)
DE DEUX CHOSES L’UNE, PEUT-ÊTRE TROIS
Que l’on essaye pas de me dire qu’il n’y a qu’un film ici. « Un, un , un. » Non, non, il y en a au moins deux, si ce n’est trois. Aussi vrai que « one, one, one » n’est pas un seul chiffre, un seul ; puisqu’il est répété, il est pluriel, et précisément, tel qu’il apparaît au moins trois fois dans la rhétorique juridique de James B. Donovan avocat, il est triple. Continuer la lecture Le pont des espions