Paul Thomas Anderson, 2007 (États-Unis)
Un sol aride et désert, deux collines en plan fixe, et un son, une note, qui monte et crée une angoisse : le procédé est emprunté à 2001 : l’odyssée de l’espace (la vue du monolythe) et annonce une menace, celle du titre, qui est le résultat de toutes les tensions et les frustrations cumulées durant le récit. Continuer la lecture There will be blood