Abbas Kiarostami, 1997 (Iran)
M. Badii, comme le pseudo-William Blake (Dead man, Jim Jarmusch, 1996), traverse un territoire qui n’est plus tout à fait celui des hommes mais plutôt celui des âmes. Si le poète au pistolet est dès le commencement condamné à descendre aux enfers, M. Badii, lui, peut-être à l’image de l’Iran tout entier, erre encore au purgatoire. Continuer la lecture Le goût de la cerise





