Don Siegel, 1956 (États-Unis)
« Un moment de sommeil, et la femme aimée s’était changée en ennemie farouche ». Y a-t-il pire réplique paranoïaque ? Continuer la lecture L’invasion des profanateurs de sépulture (Invasion of the Body Snatchers)
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Don Siegel, 1956 (États-Unis)
« Un moment de sommeil, et la femme aimée s’était changée en ennemie farouche ». Y a-t-il pire réplique paranoïaque ? Continuer la lecture L’invasion des profanateurs de sépulture (Invasion of the Body Snatchers)
Akira Kurosawa, 1980 (Japon)
L’ombre est là, dès le début. Le long début en plan fixe présente trois hommes : au centre, Shingen chef du clan Takeda, à sa droite, son frère Nobukado, devant eux un voleur échappé de la potence Continuer la lecture Kagemusha, l’ombre du guerrier
Richard Linklater, 2025 (États-Unis)
De Gaulle au pouvoir, la « tradition de la qualité » sur trop d’écrans, il fallait que la jeunesse descende dans la rue (avec une caméra) et fasse la (presque) révolution. C’est ainsi que, dès l’été 1959, Jean-Luc Godard faisait mai 1968 avec À bout de souffle, lui tout seul et quelques copains. Continuer la lecture Nouvelle Vague
Jean-Luc Godard, 1960 (France)
À bout de souffle est depuis plus de soixante ans une respiration pour le cinéma et pour le spectateur. Continuer la lecture À bout de souffle
Johan Grimonprez, 2024 (Belgique, France, Pays-Bas)
Bande-son pour un coup d’État doit son titre aux ambassadeurs du jazz que les États-Unis ont envoyé pour représenter leur pays un peu partout à l’étranger, comme en Afrique et au Congo en particulier, au moment de l’assignation à résidence arbitraire, puis de l’assassinat de Patrice Lumumba. Le documentaire musical est tout sauf une improvisation Continuer la lecture Bande-son pour un coup d’État (Soundtrack to a coup d’Etat)