Don Siegel, 1956 (États-Unis)
« Un moment de sommeil, et la femme aimée s’était changée en ennemie farouche ». Y a-t-il pire réplique paranoïaque ? Continuer la lecture L’invasion des profanateurs de sépulture (Invasion of the Body Snatchers)
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Don Siegel, 1956 (États-Unis)
« Un moment de sommeil, et la femme aimée s’était changée en ennemie farouche ». Y a-t-il pire réplique paranoïaque ? Continuer la lecture L’invasion des profanateurs de sépulture (Invasion of the Body Snatchers)
Masaki Kobayashi, 1962 (Japon)
Considéré comme l’un des chefs-d’œuvre du cinéma japonais, et pour une fois le terme n’est pas galvaudé, Hara-kiri fait l’objet d’un remake de Takashi Miike actuellement projeté sur les écrans français (Hara-kiri : mort d’un samouraï sorti en novembre 2011). C’est donc l’occasion, non pas de comparer les deux versions, mais Continuer la lecture Hara-kiri
Akira Kurosawa, 1980 (Japon)
L’ombre est là, dès le début. Le long début en plan fixe présente trois hommes : au centre, Shingen chef du clan Takeda, à sa droite, son frère Nobukado, devant eux un voleur échappé de la potence Continuer la lecture Kagemusha, l’ombre du guerrier
Richard Linklater, 2025 (États-Unis)
De Gaulle au pouvoir, la « tradition de la qualité » sur trop d’écrans, il fallait que la jeunesse descende dans la rue (avec une caméra) et fasse la (presque) révolution. C’est ainsi que, dès l’été 1959, Jean-Luc Godard faisait mai 1968 avec À bout de souffle, lui tout seul et quelques copains. Continuer la lecture Nouvelle Vague
Jean-Luc Godard, 1960 (France)
À bout de souffle est depuis plus de soixante ans une respiration pour le cinéma et pour le spectateur. Continuer la lecture À bout de souffle