Cagliostro (Black magic)

Gregory Ratoff et Orson Welles, 1949 (États-Unis, Italie)

OMNE IGNOTUM PRO MAGNIFICO

Motivé par une vengeance toute littéraire, ne craignant rien ni personne, le Grand Cophte, à qui Welles prête sa superbe, fixe la monarchie de Louis XVI droit dans les yeux et se hisse au plus près du pouvoir. Continuer la lecture Cagliostro (Black magic)

Cœur de verre

Werner Herzog, 1976 (Allemagne)

« Dans les procédés de l’art, on trouvera sous une forme atténuée, raffinée et en quelque sorte spiritualisée, les procédés par lesquels on obtient ordinairement l’hypnose »

H. Bergson cité par E. André dans « Logique d’images. Du rêve, des sommeils et de l’art », dans Marie Martin et Laurence Schifano (dir.), Rêve et cinéma, 2012, p. 276.

« Le verre est un corps diaphane, amené artificiellement à la nature de la quintessence. […] Si tu veux faire de la couleur rubis, pour vingt parts de ce verre, prends une part de limaille de fer. Pour le balais, pour vingt parts de verre, mets une demi-part de battitures de fer »

Guillaume Sedacer, Sedacina, chap. XXII, Le verre, sa nature et ses différents traitements, dans P. Barthélemy, La Sedacina ou l’œuvre au crible, 2002, vol. II, p. 164, 166.

Il n’y a rien sur Cœur de verre dans le Cinema Hermetica de Pacôme Thiellement. Continuer la lecture Cœur de verre