Eric Rohmer, 1967 (France)
Deux jeunes hommes « à la recherche du rien » passent du temps à l’ombre d’un arbre dans des peignoirs à fleurs Continuer la lecture La collectionneuse
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Eric Rohmer, 1967 (France)
Deux jeunes hommes « à la recherche du rien » passent du temps à l’ombre d’un arbre dans des peignoirs à fleurs Continuer la lecture La collectionneuse
Un prince sur le dos Continuer la lecture Motif # 133
Terry Gilliam, 1977 (Royaume-Uni)
« Je suis celui qui fut le lion vert et doré : en moi est enfermé tout le secret de l’art » Continuer la lecture Jabberwocky
Werner Herzog, 1976 (Allemagne)
« Dans les procédés de l’art, on trouvera sous une forme atténuée, raffinée et en quelque sorte spiritualisée, les procédés par lesquels on obtient ordinairement l’hypnose »
H. Bergson cité par E. André dans « Logique d’images. Du rêve, des sommeils et de l’art », dans Marie Martin et Laurence Schifano (dir.), Rêve et cinéma, 2012, p. 276.
« Le verre est un corps diaphane, amené artificiellement à la nature de la quintessence. […] Si tu veux faire de la couleur rubis, pour vingt parts de ce verre, prends une part de limaille de fer. Pour le balais, pour vingt parts de verre, mets une demi-part de battitures de fer »
Guillaume Sedacer, Sedacina, chap. XXII, Le verre, sa nature et ses différents traitements, dans P. Barthélemy, La Sedacina ou l’œuvre au crible, 2002, vol. II, p. 164, 166.
Wim Wenders, 1972 (RFA)
ŒUVRE AU ROUGE
« Les dames de haut rang, dont elle
franchissait les portes pour son travail, avaient
coutume de distiller en son cœur des gouttes
d’amertume, tantôt au moyen de cette alchimie
qui permet aux femmes de tirer si méchamment
et sans avoir l’air d’y toucher un subtil poison de
n’importe quelle bagatelle, tantôt en lançant un
mot cru qui tombait sur la poitrine de la
malheureuse comme un coup sur une plaie
envenimée. »
Nathaniel Hawthorne
La lettre écarlate, chap. V. Continuer la lecture La lettre écarlate