Jean Renoir, 1950 (États-Unis, Inde)
« Here is the baby.
The baby and us.
The big river, the whole world and everything.»
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Jean Renoir, 1950 (États-Unis, Inde)
« Here is the baby.
The baby and us.
The big river, the whole world and everything.»
Andrei Nekrassov, 2011 (France, Russie)
« Ce n’était pas seulement une idéologie,
c’était un univers, la matière de notre vie. » [1]
Le cinéaste russe Andrei Nekrassov [2] avec l’écrivain français Jean-François Colosimo et l’historien hongrois György Dalos proposent une fresque en six épisodes, de 52 minutes chacun, sur la fin de l’U.R.S.S. : des lézardes apparues Continuer la lecture Adieu camarades !
Shohei Imamura, 1989 (Japon)
On a le sentiment aujourd’hui que le cinéma n’a plus à se pencher une fois de plus sur la guerre du Vietnam, que Cimino, Coppola et Kubrick entre autres en ont exprimé tout l’absurde, tout le tragique. Le même sentiment du devoir accompli Continuer la lecture Pluie noire (Kuroi Ame)
Takashi Nomura, 1967 (Japon)
Entre courses-poursuites et fusillade mêlées de trahison et de complots, A colt is my passport transpose le meilleur du western au pays du soleil levant. Continuer la lecture A colt is my passport
Nuri Bilge Ceylan, 2011 (Turquie, Bosnie-Herzégovine)
Certains films font tout pour simplifier la complexité d’événements existentiels, pour réduire en un agencement compréhensible de plans, en un chemin narratif rectiligne, un phénomène très vaste qu’une somme d’essais n’avait pas jusqu’alors réussi à épuiser. Continuer la lecture Il était une fois en Anatolie