Kiyoshi Kurosawa, 2015 (Japon)
Dans cet univers, les choses infimes comptent énormément, même celles qui paraissent ne plus rien peser au seuil de la mort ou… de l’autre côté. Continuer la lecture Vers l’autre rive (Kishibe no tabi)
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Kiyoshi Kurosawa, 2015 (Japon)
Dans cet univers, les choses infimes comptent énormément, même celles qui paraissent ne plus rien peser au seuil de la mort ou… de l’autre côté. Continuer la lecture Vers l’autre rive (Kishibe no tabi)
Teinosuke Kinugasa, 1953 (Japon)
Célébré lors de sa sortie pour sa beauté plastique et son caractère éminemment exotique, La porte de l’enfer fit, selon la formule consacrée, sensation au festival de Cannes 1954 (présidé alors par Jean Cocteau), où il obtint le Grand Prix, Continuer la lecture La porte de l’enfer (Jigokumon)
Ishirō Honda, 1954 (Japon)
Godzilla tient à la fois de King-Kong et de la bombe atomique. C’est en 1952 en effet que ressort sur les écrans d’une moitié du monde (celle qui est directement placée sous l’influence américaine) Continuer la lecture Godzilla (Gojira)
Koji Fukada, 2013 (Japon, Etats-Unis)
L’ÉTÉ DE TOUTES LES RÉVÉLATIONS
« IL Y A LE CIEL, LE SOLEIL ET LA MER… »
Au revoir l’été de Koji Fukada résonne comme la chanson de François Deguelt. A la lisière entre un film de vacances et une tentative de peinture sociale du Japon, l’été de Fukada garde la chaleur de la saison mais aussi sa profonde légèreté.
Naomi Kawase, 2010 (Japon)
Ça commence comme dans un film de Terrence Malick. Un mouvement de caméra sous la frondaison, de la lumière du ciel vers le sol. Un léger nuage de fumée, le feu et l’eau. Naomi Kawase revient aux éléments premiers pour introduire son sujet : l’accouchement naturel de femmes fuyant la ville et son stress, l’hôpital et ses contraintes, en forêt (près de la ville d’Okazaki) et sous l’œil bienveillant du docteur Yoshimura. Continuer la lecture Genpin