Don Siegel, 1956 (États-Unis)
« Un moment de sommeil, et la femme aimée s’était changée en ennemie farouche ». Y a-t-il pire réplique paranoïaque ? Continuer la lecture L’invasion des profanateurs de sépulture (Invasion of the Body Snatchers)
"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Don Siegel, 1956 (États-Unis)
« Un moment de sommeil, et la femme aimée s’était changée en ennemie farouche ». Y a-t-il pire réplique paranoïaque ? Continuer la lecture L’invasion des profanateurs de sépulture (Invasion of the Body Snatchers)
Alfred Hitchcock, 1952 (États-Unis)
« Les prêtres l’intriguaient, certains lui avouaient qu’ils prenaient plaisir à ses films les plus sexy et les plus violents, ce qui l’amusait » [1] Continuer la lecture La loi du silence (I Confess)
Alan J. Pakula, 1978 (États-Unis)
Les gens qui s’ennuient devant ce film, critique que l’on peut lire çà et là, sont sans cœur. Ce n’est pas l’action qui tient Le souffle de la tempête, même si le récit est jalonné de quelques rebondissements, ce sont ses personnages : mauvais (et ils excellent dans ce registre), ou à l’inverse en tout point attachants, et cela, probablement surtout en raison de leur complexité. Continuer la lecture Le souffle de la tempête (Comes a Horseman)
Werner Herzog, 1972 (RFA, Mexique, Pérou)
Le dernier voyage du Demeter, c’est ce qui me vient à l’esprit devant le dernier radeau des conquistadors. Continuer la lecture Aguirre, la colère de Dieu (Aguirre, der Zorn Gottes)