Louis Malle, 1967 (France)
À CORPS PERDU
Cruel parfois, jamais discourtois. Juste avant 1968, Malle trop peu méchant pour vouloir dépecer la carcasse bourgeoise, d’autant que son voleur s’y complaît, adapte un roman auquel il retire, si l’on en croît ceux qui l’ont lu, hargne et radicalité. Continuer la lecture Le voleur