"Je ne tremblote pas, je vois tout"
Vincente Minnelli, 1944 (États-Unis)
« THERE’S NO PLACE LIKE HOME«
« On n’a jamais rien vu de pareil. Et sans voyager, sans nous déplacer. Dans notre propre ville !
– Grand-père, ils ne la démoliront jamais ?
– Ils auraient bien tort !
– Incroyable ! Ici, chez nous ! Ici, à St-Louis. » Continuer la lecture Le chant du Missouri (Meet me in St. Louis)
Howard Hawks, 1932 (États-Unis)
« QU’ILS AILLENT SE FAIRE FOUTRE.
COMMENCE ET FAIS-LE AUSSI REALISTE,
EXCITANT ET HORRIBLE QUE POSSIBLE » [1]
Les jours tombent du calendrier à la cadence de la mitrailleuse et tranquillement Tony Camonte impose sa loi. Continuer la lecture Scarface
Charles Reisner, 1928 (États-Unis)
Une veste à grosses rayures, un nœud papillon à pois, un béret enfoncé sur le dessus du crâne et un ukulélé à la main, William Canfield que joue Buster Keaton rentre chez lui après avoir fini ses études. Sur le quai de la gare, il a rendez-vous avec son père, le manque à deux ou trois reprises et Continuer la lecture Cadet d’eau douce (Steamboat Bill, Jr.)
James Whale, 1931 (Etats-Unis)
ET WHALE CREA FRANKENSTEIN
Frankenstein est né de mère anonyme en 1818 et ce n’est qu’en 1831 (lors de la 3ème édition) que Mary Shelley reconnut publiquement le monstre qu’elle avait enfanté dans son « horror story of maternity ». Continuer la lecture Frankenstein
John Ford, 1939 (États-Unis)
Bien sûr les Apaches sont les mauvais sauvages, les agents d’un chaos auxquels s’oppose la civilisation nord-américaine qui, encore toute jeune, aspire à l’ordre et s’organise (la guerre de Sécession s’est achevée et l’esclavage aboli). Avant même de se manifester, les Indiens hantent le récit comme une menace… Ils ne sont qu’une ombre au générique. Continuer la lecture La chevauchée fantastique (Stagecoach)