"Je ne tremblote pas, je vois tout"
James Cameron, 1984 (États-Unis)
COMBATTRE LE FUTUR ?
Dans un numéro de Voir (« mensuel des aventures de l’image »), inséré entre une publicité pour un magnétoscope et une autre pour le MO5 « le micro de votre avenir », Continuer la lecture Terminator
James Cameron, 1991 (États-Unis)
Pour la protection ou la destruction de John Connor (Edward Furlong), indispensable atout de la résistance humaine dans une apocalypse future peuplée de machines, Continuer la lecture Terminator 2 : le Jugement dernier
James Cameron, 1986 (États-Unis)
James Cameron ouvre grand le sas de dépressurisation et en laisse sortir toute l’atmosphère du précédent métrage (Alien, Scott, 1979). Les États-Unis ne sont plus gênés par un flou idéologique qui les pousserait au questionnement (l’après Vietnam par exemple) mais réaffirment avec Reagan (1981-1989) Continuer la lecture Aliens, le retour
James Cameron, 2009 (États-Unis)
LA FABRIQUE DE L’ILLUSION
Le réalisateur de Abyss (1989) et de Titanic (1998) veut l’immersion du spectateur dans un monde imaginaire capable, mieux que par le passé, de se substituer à la réalité. Continuer la lecture Avatar
McG, 2003 (États-Unis)
Après le calendrier de l’année 2000, voici la version 2003 : toujours très coloré, toujours très sexy. McG se contente d’un zapping à la hauteur du premier, un convenable fac-similé de Charlie et ses drôles de dames. Effets Matrix (Wachowski, 1999), musique (The Prodigy), multiplication des situations (jamais plus de cinq minutes dans la même tenue, ni au même endroit), il copie jusqu’aux ressorts du récit, l’ennemi à combattre est un ancien allié… Rien de neuf à L. A. ou presque… Continuer la lecture Charlie’s angels, les anges se déchaînent (Charlie’s angels : full throttle)